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356 GEHEIMNISS
GEHEIMNIS S
ou la modestie et la sociabilite naissait pas. — Donc tout seerät
nous fexaient jouix de la vie qui necessite un quatxiqme gra-
d'une maniexe utile et agxeable, de poux paxvenix a la perfection
ou Pamoux fxatexnel nous lie- n'appaxtient plus a la vexitable
xait plus etraitement ensemble, Franc-Maponnerie."
ou on se comniuniquexait rnu- „Je n'examinexai pas% si en
tuellemeiit des idees lurnineu- soi - meine cela peut £txe inte-
sesde nouvelles de'couvextes, xessant et rnexite^ d76tre connu,
de bonnes connaissances, et en- mais je uexsistexai toujours datis
fin oü Ton delibexexait sur les mon opinion k laquelle j'ajou-
xnesuxes convenables au bien texai qu'il n'y a aueune pxoba-
de notxe pi-ocliain." bilite que cela puisse etre le ve-
*) „ Si pour penetxex dans xitable secret de la Franc-Ma-
notre vrai secret on ne veutpas gönn., et enfin que cela doiva
xestex dans Pexxeur, on n'a qu'k derenix indifferent aüx fxancs-
jreüecliir et suivxe les explica- macons. C.elui qui ajoute a la
tions qu'en donne Toxdre lui~ Franc-Magonn. le secret d'an
xne'nae a ses inities et se le xen- haut grade ne la connaitgueres,
dre familiexes. Tout ce qui, on ne peut pas s'en penetxer,
d'apxes ces explications, n'est et dans ce dexniex cas il ne peut
plus secret de Vordre, nous pou- se justffiex qn'avec peine du xe-
vons et nous devons le xejeter. , pxoclie d'avoix ete dans Pexxeux
Ces explications disent qu'ä avec eonnaissance de cause."
PG" (djpprenti) „ on ouvxe les »j^ne Loge de St, Jean est
yeux et qu'au Flt (Oompagnon) ün rnonde sepax<§ du monde
^,on les foxtifie, rnais que leE" ptofäne^ impenetxable aux
(M&itre) >,est paxMt^ Dorce yeux du vulgaire. Tout»
sa xeception le fxanc - maqon distinetion dans la soci&te,
doit aroix ete conduit sux le toute ligne de demaxcation
Tx^i cbemin et k son pexfection- txacee pax Petat, la coutume
xiement; comme Maitre il doit et pax la pxevention est ou-
ejtxe en possession (poux peu bliee du rnacon en LogeK La
«ju'il ait de Pespxit et du goiit on ne voit que iliomme et
poux le secret), ou toutes les xien de plus; la ce ne sorit
explications de nos AA , GC et <LU© des fxexes qui se font
£>Q des B «' ( Constitutions, In- accueil, et toute autxe xela-
<$tructions et Hits, des 3 grades tion pxofane cesse entxe eux.
qymboliques) „nous txompent, Tous commandent; — cax
ce qu'on ne peut guexes suppo- tous les paxfaits contxibuent
sex pax'des ^xaisons consignees egalementa chaqueloi. Tous
dans riüstoixe et la moxale de obeissent aux lois, qui seu-
notre oxdxe. La Franc-Mapon- les sont nos juges supxemes.
nerie se texmine avec les 5 gra- Le Z" { Venerable) „meme
des sytnboliques d'apxes les an- n'est Maitre que pendant
ciennes insauetions qu'on en a. qu'on lui confie le A4< (maih
Arant Pannee 1717 on ne txa- Ut), „et quant a saperson-
VaiUnit nulle part dans leshauts ne-, eile ne peut etxe consi-
grades et meme orx ne les con- dexee que comme komme et
^-- ' rien de plus (*). Konneux,
*) Hier fängt der Auszug aus dem Que devienrient alors lesSou-
göthener 7-, Taschenbuche'4 an. verains Frinces, les Tres-Puis-
S. vorher S.347, Sp. b,-Z.14ff.» sants efec. des hauts grades? u
v. oben, Anm. desJieraus-g, Anp. des französ. tCbers:
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