Freiburger historische Bestände - digital

GIj AUBE etc.

GLAUBE etc. 423

des bien distinctes, Li mcteriel- tltes, dt'terxnina les obsewation*

le, la spirituelle et la •*/<?, d'uu pent nombie : ia s&riedes

et, comparant leur cfre.1 I'Uui- Observation* rransmi«e* d\lge

rer* exilier, reeomiaitre i'uiiion en äg« forma l'Astronomie.**
et la combinaisuri cie ces trois „Un hcm&ix ^eme» ismpire

pxineipos ! '* f parie Granä A r- ii;t.:otc <\e iU ni-

njTn.ix bufs prineipaux detex- ver* et detexuihie par la necei-

minent rixnmeiisitt; de* cpnn&is- site, deveioppa ce sentimtinc

saxices maeonriiques; de la reu- inne de culciver Ig solque fori

nion de ces buts riaitce que tont Jiabise etdeeouvrit le ttejorine-

vxai majori ckerche, — la Pri- puisaDle /'..- 'griculiurt."
rite. Ces buts sont laMetaphx - „ JL'Agricnlfcitr© peifection-

,%iqm, laßlorle et la Phymque. nee vi ;*ssnree par le setouxs 1

,Les clemcns de toutes ces con- rAstron.Miii« , devint Ja base et
naissances sublimes sont renfer- le principe fecond des *oci£te»
nie* d;«ns nos troi* p rentier* Gra- p<>lhiqurs« do»t l'existeace ne-
des, den online* par cette raison cessita Je* ioix et le cleveloppe-
Grades symholiques, ainsi que xytmt de la "ßtorale. u
eeux de. tontes irs connaissan- ' „I/iiiteniperie des saisons, la
ces qui en derivent. *k vanicke des auiniaux, la neces-
„Dans le premier Grade tont gjte de metfre k Tabri le fruit
s"*op«re par truiu parceque tout de» labeur* 2e riioimroe». forca
a rapport a trois principe*, — son gerne a elerer un edifice
la nai; a/ti e. l'exitttence et la quelconqiie. I/art de eoftstXtti-
jrwrti l'agent, l >. ; aiient et /#? re des maisons; eVaire dei ab-
produit. — Ijans le aecund Gra- s<-rv; tions du genie et du gout,
de Ton commence a detaiilt-x les doima iieu a Ia tltcurie des li-
pxemiers produits, les pn-mi».- gn,.s et du* iurfaces de ['Antares
comequence* des trois prin- heture."

eipes, ioui iVmb^euie de unq, „Ces connaissnnce* diverses

paxceqiie tout y a xappöxt avec appaxtietiuent n#'cessaireinetit k

t'inq scienvas ou connaissaneti, n» pecit Ufinibre d^indHidui,

üietaphyniqne , /ä Marale, qni pentSaot bien des sit'dei **cn

l>Astronomie , /JA^riculture et assttfererit ia pöttcisian exciu*

l'ylrchitecture. Ces trois der- iive, en se serrÄlt d'iin roile

jiieres seieuces sont un« avec /</ impenetrable," c'est ce qwi don-

jPAy-.it/af^ dout Tetude des pro- na iieu k ces hutitm'mm cele-

pxietes des diverses produeuons 5 bretdont les &ahe>th.s et Irs /i/vz-

de la nature et. du mystere de mes sont des reites iiiblinies,

ses Operations detexnüneia cou- Les Magen* les Hiera}.haute*,

naissnnce. ** les Druides ftirent autant de brait-

,,L*ordxe immuäble du mou« eiies de ort minies luhUs, quo

vement des corps ceb stes t aus- 1'amiHir et i'etude des sciemee*

si .„.'(dinirable qulncoiK-evable, et des lettre* avaient Teunis,' «C

fut l'ecbelie qui porta Tesprit que ia faulx meurtriere duterof

liuiiK in jusqu'a Fint»-ISigence a aii'V>-mis. — L'ou ne prut iiiet-

supreuie, en elevnnt i'ame des tre en doute que le* tlierophan"

obseryateiti'* nu de«us de toute tes n*avaient parte au plus baut

matiere cree:-':. — Ainsi naquit degre ces differentes scicnces*

la Met< p/n \iquc. *< C'tst par eux, c'est par ces

„L'aspect de ce* mervelHes cellbxe* Fidlosophes que nou§

qui semblent suspendues sur nos out ete transxnis, par uue tradi-