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6 NEAPEL IL SICILIEN. NEAPEL IL SICILIEN.

Lichte erschien , s<3 lange von
uns abzuhalten, bis wir sie
besser geprüft und erforscht
hätten.*4 u. 8. w.

„Am Johannisfeste des letztvergangenen
Monats Juni ist,
mit dem einstimmigen Beifalle
unserer sämmtL Brüder, unser
bester und würdigster Bruder
Cap allere Diego Nase Iii de Prin-
cipi di Aragona zum Nachfolger
des Principe di Caramanica
in der V^ürde des National-
grofsmeisters erwählt worden;
und Dieser leitet uns mit so
allgemeiner Zufriedenheit, dafs
unser gutes Beispiel sogar die
Mitglieder jener beiden Logen
die unter dem Hammer

des oben gedachten Duca della
Kocca e Dametrio und des
Principe di Oftojano arbeiteten,
ihren Iirthum eingesehen, die
Rechtmässigkeit dieser unsrer
grofsen Nationailoge anerkannt
und sich unseren Verordnungen
unterworfen haben. Über-
diefs haben wir noch 4 neue
Logen errichtet, — eine unter
dem Namen; della Ospitalitä
(zur Gastfreiheit), zu Jerlizzi
in diesem Königreiche und 5
andere im Königreiche Sicilien,
nämlich eine unter dem Namen
: de Constanti ( der Standhaften
), zu Messina, eine degli
Intraprendenti (der Unternehmenden
), in Caltagirona, und
eine, genannt delV Ardore (der
Feurigen), in Catania.**

3) Das dritte Schreiben,
in französischer Sprache,
vom 10. Dec. 1776, lautet

^Apres les plus etranges ac-
cidents et la persecution la plus
cruelle contre notre tres-respec-
table Ordre en general, et en
particulier contre les malheu-
reux jmsonniers d'ici, nous
avons *a rendre les plus hum-

bles gräces au Grand Architec-
te, qui ne laisse de proteger
rinnocence en tous tems. Nous
sommes donc , tres - chers Fxe-
res, dans le devoir de Voua
donner part qu'apres que le
Marquis Tanucci , ci - devarft
premier Secretaire d'Etat, a eu
sa dimission, et que le tres-
digne Marquis della Samhuca
a ete elvi, pour lui succeder, on
a verifie la faussete du pxoces,
que le Conseiller Pallante, un
des chefs du tribunal de la Vi-
cairie, en ayait forme, apres
avoir fait lui-m&roe seduire les
dits malheureux a s'unir le 2d
Mars dernier dans une maison
de campagne et les avoir arrete
sous le faux titre de les v avoir
surpris en Loge. Enfln la su-
preme Jointe d'Etat, composee
par le President du Conseil et
Iiuit autres Ministres, s'etant
assemblee le 6eme du courant,
pour examiner dans les forrnes
juridiques les 12. points de re-
cusation produits par le sage
et digne Conseiller A-vena,
comme avocat des dits prison-
niers contre le dit Pallante, les
declaxat tous et d'une voix una-
nime valides, et qu'en conse-
quence le dit Pallante ne puisse
plus s1y ingerer. — Ce n'est pas
lui seul qui devra craindre la
royale indignation, mais bien
aussi Tautre Conseiller Rug-
giero, pour Tavoir defendu en
qualite d'avocat, ayant eu Tim-
pudence de publier une apolo*
gie en sa faveur, qui a ete pro-
scrite par, la meme suprSme
Jointe d'Etat, comme teme-
xaire, fausse et contraire a la
souverainete et a la reputation
de la Magistratuxe. — Ii y
a Heu d'esperer que cette deci-
sion prouvera au monde que
les bons Ma0,011$ a Naples n'ont
laisse d'agir en cette occasion
avec le plus grand zele et pru-