Freiburger historische Bestände - digital

TEMPELHERREN - ORDEN. 507

389, S. 406, Sp. a, S. 412 f.

undS. 416!

Die Grade des clermon-
tischen Hochcapitels (5. d.
Art.: dasCollegium pötiGler-
mont, u, B. 3, S. 194, Sp. a,
Z. 15 ff.!) waren auf nachstellende
Legende gegründet,
welche der bereits oben S.
30,Sp.a, nebst der deutschen
Übersetzung, angeführten,
Schrift: „Les plus secrets
mysteres" etc., vorgesetzt
ist. —

„Histoire de Vorigine de la Ma-
fonnerie."

„ Cet Ordre fut institue par
Godefroi deBouillon dans laPales-
tine en 1350, apres la decadence
des armees chretiennes, et n'a
ete coramunique aux Francis
Magons que du tems apres, et
k un tres-petit nombre, en re-
compense des obligeans Services,
qu*ils ont rendus a plusieurs de
nos Chevaliers Anglais et Ecos-
sais,*) dontla vraie Maconnerie
est tiree. Leur Metropole - Loge
est situee sur lamontagne d'He-
xedon,*« [vielmehr: Herodom;
a. d. Art.!] „ou s^est tenue la
premiere Loge en Europe, et
qui existe dans toute sa spien-
deur. Le Conseil generai s'y
tient toujours; et c'est le siege
du souverain Grand- Maitre en
exercice. Cette montagne est
situee entre POuest et ie Nord
de PEcosse, a 60 railies d'Edin«
bourg."

„ Ii est d'autres secrets dans
la Mag onnerie, qui n'ont jarnais
ete connus parmi les Francis,

[*) Dieses Werkchen ist nämlich,
wie der Titel besagt, mit Ausnahme
des siebenten Grades. (s.
Noackite!) aus dem Eiiglwchen
übersetzt worden.]

et qui n'ont aueun lapporr k 1*
Apprentif, Cornpagn#ns etMai-
tfes, — grades, qui ont ete faitt
pour la generaKte des Maroni, et
qui ont paru en public sous le
littedes Maponstrahü, et autreS.
Ces hauts grades, qui vous de**
veloppent le vrai but, pour le*
quel la Maconnerie a ete faite,
et les vrais secrets, qui n'ont jarnais
ete sus, ne sontautrechose
que ce qui suit. '*

„Les Sarrasins s'etant empa»
res des lieux saints, autrement
dits la Palestine, ou se sont
passes tous les mysteres de notre
Ordre auguste, qu'ils faisaient
servir aux exercices les plu»
profanes, les Chretiens se li-
guerent, pour conquerir cebeau
pays et chasser ces barbares d'une
terre aussi respectable. Iis reussi^
xent k aborder en ces lieux, k
la faveur des armees nombreu-
sei, que tous les princes chretiens
araient envoyees, et qui
avaient pris le nom de Croises
de la guerre sainte; mais les
pertes considerables, qn'ili £>
rent, les obligerent de vivre et
de rester confondus parmi cette
secte; ce qui occasionnait tous
les jours des disputes, dpnt la
lin etait tragique aux fideles
Croises, La fureurde ces barbares
fut meme portee si loin qu'au
seul nom de Chreticn ils massa-
craient tous ceux, qui en fai-
saientleur bonheur* Ce fut ce qui
determinä Godefroi de Bouillon^
leurChef, vers la fin du troisieme*
siecle, a cacher et a couvrir le*
mysteres de la religion sous let
figures, qui sont traeees dans
les estampes ci - jointes, ^ [auf
dem Frontispice und einem
Blatte in 4.3 „oü Ton a eu soin
de faire graver, avecPattention la
plus scrupuleuse, ces emblemes
et ces allegorie*."

„Ott voit par-lk quece fnJt]e
motif, qui 6c quelo« aeles Cht6-