Freiburger historische Bestände - digital

GEHEIMNIS S.

GEHEIMNISS. 357

tespect et obcissance aux lois!
Que l'amour, Pindulgence
et Pencouxagement aux frc-
xes, poux leur facilitex leur
pexfection, soient les quali-
tes du Ma^ort et loxsque les
conseils des fxexes, Pindulgence
et Pencouxagement
xestent saxis effet, loxsque le
fxexe pexd avec un coeux d<>
cliixe Pespoix de xamoncr
rennerni de sa propre pex-
fectlon daris unirieillenx clie-
xnin , loxsqu'il crairit de voir
xiotxe institution paxaiysce
et detruite, aloxs que sa seule
punition soit: d'&tre a jamais
exclu de Pnnion frnternelle."
,,Qui ne xeconnait pas dans
*ette faible esquisse, que je vlens
de tracar, le secret de Ia Franc-
Maponnttrie? Dans Loge notis
devoris et rious voulons etxe xe-

faxdes simplement comme des
orames qui txavaiilent au tern*
ple de»la vextu et de In sagesse
avec des foxces unies. "

,,Aucun titxe, cxceptfS celui
de fxexe dans toute sa pnretc,
rPest entondu dans Pintexieux
d'une Loge. L'axtiste et le sa-
vaut, le 'riebe et le pauvre, le
souvexain et le sujet, le Fnm-
^ais et PAnglais, enfin tout ce
qui, dans Je grnnd monde pxo-
fane, se tieiitsepaxe Pun de lautre
, se joignexit avec confiance
et amitie, et toute distinetion
et jdxfferenoe disparaissent au
xnoyeri de Pamoux et de Pliuxna-
nite. La plus gxande distrmee
est xappxochee, toute grandeiir
dispaxait et Pegalite la plus pax-
faite xegne paxmi eux; ils sont
ce qu'iis etaient loxs de leux
naissance et ce qu'ils sexont a
leux mort."

,,Totit ce qui xegnxde Pliomni
e forme le sujet de Pentretiea
de ces etxes d'un monde ideal,
inais xien de ce qui coucernc
Petat ou la religiau. Tout c$

qui tend Ii l'anu'lioration de leur
semblables» xamene les egaresj
encourasre Pindiffeient, xend
Pinconsklere plus sage, eleve
Pbornrne a sa vraie grandenr,
lui fait e viter les pie»es qu'H
xencontre; teilst Pöbjet deleur
xneditation , teis scmt'ks tra-
vanx dont ils s'oecupent." .

„Tous Commandern, tous
obeissent; ce u'est pasPkommo
a Phomzne, le friste au £xeret
c'est aux lois traeees dans no%
coeuxs et qui n'ont besoin
d'ctxe ecriies qua poux les fai-
blcs, qui peuvent existex paxmi
nous, Ces lois pendant un long
espace de terns ne fuxent poinc
ecrites, et eil es ne le fuxent
depuis que poux v^nir au se-
couxs du fxexe, et le mailltt
n'etait renn que par nn komme,,
im fxexe, comrne*nous5 nomine
Mcdtre. Chaqae frere a droit
d'aspirer a teuix ce mailleti le
xnexite et le zfeie peuvent seuls
nous le confier, mais noxi la
xiaiesrqtce, lc. xang ou la foitune
par lesquels nous obtenons la
pxeference dans le monde civil.4*

,,Txois degres condui^ent Ii
co sublime ,';"vrt-! de Pordre» Celui
oh //pprenfi deiuontre a eclui
qui Pa nionte ce qu^on txa%'ailie
et de quelle maniere ; il lui
moniie le Symbole de la Franc
Mafo/w., le teiuple de Salomen.
La pexsonue ne xeste oisif et
c'est aPouvrier d'essayex de pe«
inkxex, par co qu'il voit, dans
le sens spnbolique du tcnipls
et de s\appxoc!u'X de cette lu~
xniexe qui luit de Pinteneur. Lea
autxes freies et W/lppreiiti s1ob-
sexvent mutucllexneut poux de-
couvxir ce qu^i's peuvent alten*
dxe fun de Paulre**'

,tSi le derniex xepond k Pattente
des pxemicxs r il eii est
xecompense pax le $&mni d*?:gxt*;
on le xeqoit Vompagtten., Comme
tdl ef.pÄi la cöafiance dont