Freiburger historische Bestände - digital

HEROD.v.KILWINN. HEROD. v.KILTONN. 51

9>D+ Ce xCest pas assez. "

9,R. Je vivrais content de
mon sort; je xendxais
gxace* au ciel des bien-
faits qu'il vexse sur
xnoi. "

9fD. Jusqu'ici, mon fxexe,
yous avez bien xepondu;
mais sachez que quiconque
aspixe au pxix d'une couxon-
ne doit se conformex a ces
regUs glorieuses que Dieu
lui-ra^me a donnees. u
„R. Je rne confoxmexai
a ces xegles; je m'ax-
mexai de Tepee de la
justice; je poxtexai le
boucliex de Pequite et
le casque du salut. Ainsi
axme je ne cxaindxai
pas de m'opposex aux
ermemis de l'etat, de
xna patxie et de ma xe-
ligion."
„ILeThersata dit aloxs: „„C'est
bien fait, vxai et fidele frexe;
passez a de plus gxands hon*
neuxs! "

In dem Fragstücke der
fünften Section des zweiten
Grades, worin von der heiligen
Kirche in der Stadt
Gottes , dem himmlischerb
Jerusalem, die Rede ist, (vgl.
oben R,% S. 111, Sp. b, Z. 15
ff. ! ) ruft der Thersata am
Schlüsse aus:

,» Puissions - nöus , vous et
moi, et tous nos freies > taut
presents qu'absents, txavaillex
de facon que nous paxvieiulrons
au montSion, k lä Vxlle du Dieu
vivant, la Jerusalem Celeste, en
compagnie d'une infinite d'Au-
ges , a l'asseinbLee generale, et
l'eglise du premierne, qui sont
ecxits au ciel, a Dieu le juge de
tous, au Mediateur de la nou-
velle alliance, entin aux espxita
deshornmes justes, devenus pax-

faits, ou le S'oleil ne se couche*
xa plus, ou laLune nenous pri-
vexa plus de sa lumiexe, ou. les
jours de notre affliction et les
fatigues de notxe pelexinage se-
xont texminees.4<

Endlich wird im Frag*
stücke des Rosenkreuzgra-
des, nachdem die Gebräuche
der Aufnahme durchgegangen
und das Wort: IN KI,
erkläret worden, weiter gefragt
und geantwortet:

„D. A quelle fin a ete insti-
tue VOrdre de R - C-X? 4C
yjR, Bn memoire de Pax-
bxe qui poxta la Hose
de Jericho, qui est Jesus
, et la Fl cur de Isysf
qui s'epanouit dans la
vallee."
„ JD. Que vous appxend cet
Ordre?,,

y,R. II m'apprenddernet-
txe toute raa confiance
etma foi en Jesus, Fils
de Dieu, qui, par or-
dxe de Pilate, fut cou-
xonne d'epines et ilagelle
, — qui mouxtlt
sux la cxoix, entre deux
laxrons, poux les Reche's
des hommes» — qui
idescemdit aux enfexs et
est maiutenant assis sur
le txöne au haut des
cieux jusqu'au joux du
dexnier jugement; —
qu'aloxs il xeviendxa
xevetu de tout pouvoir
et justice, pour juger
les moitels. Les vi-
vants et les rnoxts com-
paxaitxont au soxx de la
txornpette derant ce juge
supreme, poux sesou-
xuettxe ä ses deexets
. etexnels."

„II m'appxend de plus
que, fonde sux la foi^

4*