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JESUITEN.
JESUITEN. 127
wodurch dieser Orden, als giftigster
Zweig des Papismus,
mit jeder Waffe der List und
Gewalt dem Protestantismus
und seinem Tageslichte entgegenzuwirken
und ihn, womöglich
, zu vertilgen strebt. Wenn
Diefs auch in seinem allgemeinen
Zwecke mit inbegriffen
seynmag: so sollte es doch, in
Berücksichtigung der Gegenwart
, noch recht besonders und
fühlbar herausgehoben worden
seyn. Und warum, ist die pro-
habilistische Moral der unchristlichen
Gesellschaft Jesu, dieser
Haupthebel ihrer obscurantisti-
sehen Thätigkeit, so ganz und
gar übersehen worden ? *« —
Der erwähnte Abschnitt
schliefst sich, mit folgender,
sehr gegründeten Bemerkung
. —
,,In neuern .Zeiten hat sich
Manches weiter aufgeklärt, wodurch
die wohlgemeinten Untersuchungen
eines Nicolai, Ge-
dike und Biester hinsichtlich des
geheimen Jesuitismus, welche
man einst, als Jesuitenriecher ei
auf der Zionswarte, lächerlich
zu machen suchte, gerechtfertigt
worden sind.**]
in seinen jR.e~
marques sur l'excellence de la
Branche - Magonnerie, sur
la ndcessitd de la de gager des
sectes qui la dinaturent et la
compromettent, (voir le „Ma^
nuel du Franc - Magern, " a
Paris, 1819, p. 43—70!)
rechnet p. 62 tinter diese
Secten die Magomierie Je'~
suitique und macht p» 65—-
67 von ihren . Grundsätzen
foJgende Schilderung. —
n L'institution des Jesuites
s^etait formee dans un esprit re-
speetable. Defendre et propa-
ger la foi, — elever et iustrui-
re la jeunesse, — ne posseder
aueun bien en propre, — se se-
courir mutueilement, — de-
daigner les grandeurs, — renon-
cer aux benefices et aux digni"
tes ecclesiastiques ,. — telies
etaient les bases sur lesquelies
arait ete elevee unecorporation
qui s'est detruite eile - meine des
gu'elle a cesse d^tre ce quelle
etait a sonorigine, et ce qifelle
aurait dii contmuer d'etre" pour
le bien des Etats. "
Les Jesuites paraissaient
avoir pris pour modeles lespreV
tres de PEgypte. Comme eux,
ils etaient les conservateurs et
les interpietes de la religion.
Les voeux qu1ils prononcaient
les attachaient a leur conipagnie
d'une maniere aussi indissolu-
ble que Tinteret et la politique
des pretres egyptiens les fixaient
dans le sacre College de Mem*
phis. Comme les pretres de
FEgypte, ils faisaient subir des
epreuves a ceux qui aspiraient
a entrer dans leur congregation 5
comme eux, ils etaient les pre-
Gepteurs des plus giands hom-
mes de l'Etat; comme eux, ils
faisaient voyager une partie de
leurs memb res; comme eux, ea-
fin, les Jesuites etaient l'amö
des conseils des Rois 5 ils etaient
les princes de la s^ience et les
peres de Teglise; leurs elevea
qui, par leur existence civile»
ne pouvaient appartenir au
corps, etaient imbus de leur$.
prineipes, pleins de leur esprit,
Forts de leurs Instructions, et
deVoues a leurs systemes, qu'ils
repandaient etqii'ils soutenaient
avec chaleur. Ce qu'on a ap-,
pris dans Penfance occirpe et
plait toute la vie.**
»Mais bette belle ässoeiätion
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