http://dl.ub.uni-freiburg.de/diglit/hesse1824/0157
134 JOHANNES D. TAUF.
thätige Anstalten ihm widmeten
. Auch gab es im Mittelalter
viele wohlthätige, Johannes
dem Täufer gewidmete Mönch*
gesellschaften in allen Ländern
Europas; und die meistenHospitäler
wurden ilim gewidmet;
wozanoch kommt, dafs in der
altchristlichen Kirche Johannes
der Täufer, als Vermittler des
alten und neuen Bundes, weit
höher geäclitet wurde, ats Johannes
der Evangelist \ wie man
Diefs auch noch, aus dem römischen
„Missale" ersieht, wonach
noch jetzt in jeder katliol.
Messe die Beichte, welche aus
dem -vierten Jahrhunderte herrührt
, anliebt; -„„Ich bekenne
Gott dem Allmächtigen , der
Jungfrau Maria, dem seligen
Erzengel Michael ? dem seligen
Johannes dem Täufer, den heiligen
Aposteln Petrus und Paulus,
allen Heiligen/<" u. s. w.
Was für unkritische geschichtliche
Behauptungen
dagegen die französischen
rnasonischen Schriftsteller
fortwährend verbreiten, davon
liefert „Bazötfs Manuel
duFranc-Magon" auch
in Ansehung der beiden Jo-
hannes ein neues Beispiel.—
In dem DictioJin. des mots et
expressibns magonniqiies lautet
der Art. : Saint - Jean,
p. 160-^162 der 4ten Aufl.
v. 1819, folgen dermafsen.—
s,Les Magons celebrent, par
Obligation, les deux f£tes de
Säi^-Jeani^ßüe d'ete qui ar-
rive le 24 juin, et celle d'hirer
qui a Heu le 27 decembre. Ii
-.st evident que ces deux fetes
ne sontautres que la celebration
des fetes solstitiaies, cc qui «ip-
puie encoxe ce cui «1 ete die uii
JOHANNES D. TAUF.
commencement de cetauvrage,*)
que la Magonnerie estanterieur©
non-seulement au christianisme,
mais encore aux plus anciennes
institutions. Le culte magonni-
que, comme le culte heliaque,
remonte a la naissance du mou-
de; son origine se confond avec
l'origine de la societe."
„Quant au saint Jean que les
Macons ont pris .pour patron,
ce ne peut etre ni Jean-Baptiste,
ni Jean V Evangelist e, qui rtoni\
ni Van ni Vautre, aueun rapport
avec VInstitution philantropigue
de la Franche - Mafonnerie, **)
*) In den Ueßexions sur Vorzginey
La füiation et Vimportance de la
Franche- Mäconneric, p. 23— 43,
und in. dem"'Exameh des sySiemes
les plus connus sur Vorigine
de la Franche - Maconnerie. etc.,
p. 71-84.
Anrri. des Herausg.
**) Sollte man es wol für möglich
halten, solche Behauptungen
in einem Werke zu lesen,
über dessen Entstehung- der Verfasser
(s. oben den Art.: Bazot!)
in der Introduction p. 15 sagt:
Avant d'entreprendre mon
travail, j'ai voulu, autant qu'il
a et£ en monpouvoir, rassem^
bler les materiaux n^cessaires
pour le rendre interessant et;
profitable. J'ai attendu que
I'experience de plus de dix: an-
nees de Magonnerie , que la
connaissance des hauts grades,
et que la lecture d'un nombre
prodi^ieux ^'ouvrages, m'eus-
sent dispose et .iiistruit. Cette
precaution sage m"a ete avan-
tageuse. J'ai pu enfin trditer
un sujet dont je ni itais Mert
rcnä.11 maitre.li
der p. 17sequ., von sich rühmt:
„J'ai pris sur moi , d'instruire
les jeunes Magons de ce qu'il
leur importait de bien connai-
tre, et en meme tems d'^clai-
rer suffisamment les profanes
sur le but de notre assqciation,
sur i'utilite' de hos asserriblees.
J'ai fait mes efforts pour etre
simple, clair et precis j'ai de-
daigiie" tout charlatanisme; j'ai
evite le puerile dela raysticite,
le ridicule de Tenthousiasme,
le pathos de rinspiration,"--
und der sich getrauet, von seinem
Handbuche p. 22 vorauszusagen
: >3 qu'il deviefudra peut-
http://dl.ub.uni-freiburg.de/diglit/hesse1824/0157