Freiburger historische Bestände - digital

LICHT.

Brüder erleuchtet, als auch
in dem -Ganzen der maure-
rischen Tugenden und deren
Ausübung besteht.

[In dem ,,Recueil de la
Macenn. Adonhiramite
part. 1, p. 15 sequ., enthält
der Lehrlings catechis-
nius folgende Fragen und
Antworten, welche auch
im Necessaire maconique"
p. 78 stehen; wogegen in
den Archrves de la Franc-
Mä^onn.", p. 37, die letzteren
fehlen..

,,Z>. Pourquoi vous etes^vous
fait recevoix Magern ?"
?, „ Ä Parceque j'etais
dans les tenebxes et
que je desixais connai-
tre la lumiere^ "
99D. Que signifie cette lumiere
?66

9> „ R. La connaissance et
Peiisemble de toutes
les vextus, Symbole
du grand Architecte
de PUnivexs." "

Diefs erläutert der Her-
ausg. des „Recueil" in nachstehender
Anmerkung^ —

„La Lumiere, si chere aux
Ma^ons, a poux origine le feu
saexe qui descendit du Giel sux
l'autel, le jour qu'Aaxon et ses
üls fuxent cdnsacres. — Les
Clxretiens commencerent par
mettxe trois lumieres sut leurs
autels, pour symbolisex la tri-
jple essence du Createur; et, par
la suite, on en remplit les
Ternples, poux faire connaitie
Pimmensite de TEtre supxeme.
La Catholicite, en pxenant cette
maxirne des Juifs, pubiia
par ses Cantiques saexes que
cTetait le Dieu de la lumiere
qu'elle adoxait, et xion le feu

LICHT. 289

lul-meme. — Les Mages des
anexens Pexses connaissaient un
Dieu supxeme, Createur de
PUrdvexs; mais, en meine
tenis, ils admettaient deux pxin-
eipes co - etexnels, — le pxe-
xniex auteur du Bien qu'ils re-
pxesentaient pax la lumiere,
Pautre auteur du Mal qu'ils xe-
pxesentaient pax les tenebres."

An die hier angeführten
Fragen und Antworten
schliefsen sich einige andere
, p. 18 sequ., -(ebenso im
„Necessaire" p 80 sequ. ru
in den „Ärchires" p, 39,)
an. —■-

9fD. QtPavez-vous apper^u
en en tränt en Loge ?.'**

„R. Rien que Pespxit
Ii umain p ui s s e c o m-
pxendxe; un voile
epais me couvxait les
yeux.""
»i>. Pourquoi vous avait-on
bände ies yeux?<c

5? >,I2. Pouxme faire com-
pxendxe combien Pi~
gnoxance est pxejudi-
ciable au bonlieur des
liorames," "

9,D. Qaechercluez-vous däns
votxe route ?u

„ iy R. Je cJiexcIiais la Lumiere
, de lacjuelle je
vous ai donne Pexpli-
c'ation.*' "

Vergl. hierzu die Artikel;
FiNSTERKiss und JLiciiter!]

[Der dem ersten Theile
der deutschen Übersetzung
von „der Schottischen Maurerei
" u. s. w. angehängte
Lehrlingsunterricht aus dem
,,complete Magazine" hat
S. 191 folgende hierher ge-

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