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MAgONNERIE,
MAQONNERIE. 355
ben gehören hierher und he-
Urkunden, dafs der Verf.
hei seinen Untersuchungen
nicht tief in den Gegenstand
eindringt.
Im T. II, p. 13 sqq., hat
der Verf. einen von der Jury
litteraire hei der schottischen
Loge des Trinosophes
zu Paris , durch Zuerken-
nung des Preises eines bi-
j011 propre ä etre portd en Loge
ä la boutonnibre , irn J.
1820 geh rönnen Discours andrucken
lassen, mit der Epigraphe
:
„Dicebat Pythagoras: „ „do-
norum a Deo homini conces-
sorum kaec duo essepxaestan-
tissima, — veritatem sequi
et bene facere aliis; Iiis enim
duobus mortales Deo prope
similes fieri.""
„Jelian." 1. XIV, c. 54.
Im Eingange dieser Abhandlung
sagt er nun:
„Apres avoir longtems eher«
che une bomie dejinilion de la
JFr. Maconn., j'ai ctu trouver
la rneilleure dans ces paroles de
Pythagore: 9f„ Veritätem sequi,
et benefacere aliis." ii [2Iu
Deutsch; Streng der Wahrheit
treu und ein Wohlthater seiner
Mitmenschen zu seyn. ] — „II
appartenait a cet illustre fonda-
teur de la plus celebxe ecole de
l'antiquite, de caracteriser aussi
bien et en aussi peu de mots,
une Institution qui, sous beau-
coup de xapports, pcut etre
considexee cornme la continua-
tion de cette ecole.,u ~—• Vexgl.
oben B. 1, S. 316, Sp. b, f.
und den Art. ; Pythaooras !
Weiterhin sucht der Verfasser
, zu zeigen ? dafs die
Freimaurerei Nutzen stiftet
„par les lumieres qu'elle re'~
pand ,c< und führt diesen
Satz p. 19 — 28 so aus. —■
„En etudiant la Ma^onn.»
rton dans son Organisation ex-
terieure, teile que nous l'a
transmi.se le moyen age, mais
dans sa partie la plus irnportan-
te, c'est-a -dixe dans soi, Systeme
philosophique, je la vois
arriver jasqu'a xious a txavers
les siecles, par la voie des ini-
tiations anciennes, par les eco-
les des philosophes, par les so-
cietes d*Bsseniens et de Therapeutes
, par le Chris tianisme
primitif, .et per le Chepalerie,
toujours animee du meme es-
pxit, desrpcmes intentions. Je
xeconnais que si les maq-ons su-
perficiels app orten t dans les
Loges des vues diffexentes, sui-
vant leuxs pxejuges et ieurs
goüts, les penseurs ont im ob-
jet detexmine , Institution eile
- meme a un but fixe et posi-
tif, auquel eile doit sa nais-
sance. Pour trouver ce but, il
faut remonter a une epoeju©
contemporaine, ou a peu pres,
de la formation des societes,
I'epoque ou. certains hornmes
ont exu depoir tromper leurs
semblables pour les mieux asser-
uir. Alois aussi des sages, vo-
yantqu'ils avaient a lutter con-
tre la grossieie ignorance des
peuples, et contre Finiposture,
qui en fait son profit, se sont
xeunis secretement pour conser-
vex le feu sacre d'une doctrino
plus pure, plus convenable au
bonheur et a la dignite de la
natiire humaine. Ces xeunions,
ces asiies paisibles, ou Ton ne
conspirait que contxe les vices
et les erreurs, et jarnais contre
les liommes, — c'est la Fr» lUa-
fonnerieS* —
„Cette noble conspiraiion,
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