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358 MAgONNEME.

MAgONNERIE.

est possible et vraiment utile,
la nirtqonii. ne peut plus que
s'avancer droit et a grands pas,
vers sa noble et antique desti-
nation. Elle arrive a cette de-
stination d'autant plus sure-
ment qu'elie n'a jamais cesse
d'employer les deux rnoyens
qui lmissent par triompliex de
toutes les resistances, savoir la
constauce et la douceur, Dans
les diverses forttmes quelle a
eprouvees, lionoree, protegee,
simplem ent toleree ou proscri-
te, eile a toujours employe ces
moyens, — conserve le mime
espÜt." etc.

Nachdem der Verf. ferner
auseinandergesetzt hat, „que
la magomierie a une actiuite
qui 7i est pas turbulente, et
qu* eile exclut toute espece de
fanatismef schliefst er seine
Abh. p. 38 sequ. folgender-
mafsen. —

„Ainsi la Franc-mae^onnerie
est en tont, pour le fond com-
me pour la forme, un exceilent
modele de ce que la societe de-
vrait etrc pour le bonheur de
tous et de chacun. Elle reunit
surtout au prämier de.^re les
deux caractexes qui, suivant
JPythagore, xapprochent le plus
les mortels de la Di vinite, savoir
le culte de la verite et la
pratiqtie de la bienfaisance y (ve~~
ritatem sequi, benefacere aliis;)
d'o ii Ton peut conclure, toujours
d'apres ce philosoplie,
qu'elle est Passociation la raieux
con^ue, la p\us heuxeuse qui
cxiste sur ce globe, et qu'elle
est ei quelque sorte divine, —
Jus enim da "bus mortales Deopro-
pe sijuiles fieri."

»,T1 est donc a sonhaiter cjue
la iVL^onu. se propage. de plus
en plus, que tous les iionimes
qui out des moeurs et quelque

education, partieipent a 8es
my st er es, sauf a faire de V etile
de la maconn., par le Trioyen des
hauts grades , une societe plus
intime; comme danS les ecoles
et dans les societes aucieimes iL
y avait des disciples admis a
une conEdencc particuliere du-
maitre, ou a une doctrine plus
secrete. Le nombre des ma-
^ons se multipliant, celui des
hommes de bien, des hommes
eclaircs par les vrais prineipes
de la xn orale, se multipliera
dans la meme proportion. Alors
on reconnaitra qu'un des plus
grands bienfaits de la Provi-
dence est d'avoir conserve la
amaconn. au milieu de taut de
xuines entassees par les siedest,
et de tant d'institutions cor-
ruptrices et malfaisantes."

Bruder Chemin -Duponles
scheint, unter seinen Mitbrüdern
in besonderm Ansehen
zustehen, und für das
Gute Sinn zuhaben; indefs
kann auch er sich nicht üb er
die eingewurzelten verkehrten
Vorstellungen der Franzosen
von dem Geschichli-
chen und Formellen des Ma-
sonthums erheben. Uber
die von den Trinosophes in
ihrer Loge eingeführten
Concours magonn, et litterai^,
res äufsert er sich im T. II,
p. 163, foIgendermafsen. —-

„C'est en efFet le seul moyen
de donner a Vordre une utile
activite sous le rapport litterai-
re et moral. Aujourd'liui qu'ii
x^y a plus a s'oecuper de Sciences
occultes, la magonnerie ne
peut prosperer qu'autant qu'elle
sera societe litieraire, comme
eile est societe de bienfaisance.
Pouxquoi tant de loges sont-