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MAgONNERIE D'AD OPTION.
nexie de France a-t-il jnis que
les femmes fassent admises aux
mystexes tflsis et (VOsirzs ? If.e-
rodote dit expxessement qu'elles
ne furent jamais admises a au-
cuns mystexes deTEgypte: Les
Sibylles etaient des pxophetes-
ses celebres, non seulement
cliez les Grecs, mais encoxe
cliez leS Romains; leux vertu y
etait en grande venerntion, ain-
si que Celle des Vestales; eiles
vivaient (Inns les xetxaites, loin
du commerce des liommes.
Ainsi lern* exemple ne pouvait
£tre d'aucun poids en faveux
de Tassociation dont ii pax-
lnit.'* — Yexgl. oben B. 2,
S. 277, Sp. a, Z. 10 ff. v. unten
! '
- Dagegen hältBr. Chemin-
Dupontes in der „EncycL
ma^/S T. 1, p. 193 — 199,
den Adoptionlogen eine pathetische
Schutzrede, welche
so anhebt, -
" „Persuades, comme le galant
Francois I., qu'une cour sans-
femmes est une annee sans pxin-
tems , et im pxintems sans xo-
ses, vous allez ouvxir aux da-
mes Pentree de votxe temple.
Cet usage d'adrnettre les femmes
dans la ma^onnexie, est
desäpprouve par un tres bon et
tires savant ma^on, Pauteux des
,^eehe!rches sux les initiations
ancienxtes et modernes.** —
Tdut ce cju'ii dit a cet egard
«st tres juste: mais il me pa-
xait avoir oublie Une Observation
essentielle, c'est que la
pr^sence des femmes dans nos
temples n'amcnexait la decaden-
ce de Pinstitution qu'autant
qn'elles existexaient ä tau t es les
tenues, — que les loges d'a*
dpp'tiozi ne sont qu\m objet
'fi@s secondaire, un luxe dans
la magonmric , un aimable de-
lassement, qui ne peut nuire
aux vexitables mystexes, ex-
clusivement pxatiques par des
liommes.**
Der Redner schliefst mit
dein Ans rufe:
„Ainsi la mat^onnexie, qui
rend les liommes meilleuxs,
pexfectionnexa encoxe les femmes
; et de ce double pex-
fectionnement il xesultei'a que
les ma^ons unis a des maQon-
nes, vexxont xenouvelex en leux
faveux, le pxodige pax lequel
les Dieux xecompenserent la
vertu et le tendxe attacliement
de Philemon et de Baucis, c'est-
a-dixe que leux toit domesti-
que sexa convexti en un templo
saexe, sejour du bonlieux 1©
plus pur.'*
ßonnepllle sagt in seinem
Weihe: „Les Jesuites chas-
ses de la Ma^onnerie," etc.,
2de partM p. 80 sequ. (in
der Übersetzung, Th. 2,
S. 105 f.);
„Die Franzosen haben sogar
eine Freimauxexei füx das Fxau-
enzimmex geschaffen, wovon
sie die Versammlungen Loges
d> Adojrtion nennen ; und da diese
so ziemlich gewöhnlich aus
den ausexlesensten Pexsonen des
Hofes und der Stadt bestehen,
so laufen alle französische
Mauxer diesen Adoptionlogen
zu, welche sich übxigens duxch
ihren Anstand und ihre Wohl-
thätigheit sehr* empfehlen. Unsere
Fxanzosen bekümmexn sich
sehr wenig um das Schelten
einigex mürrischen Mauxer,
die ihnen täglich mit der* Mahnung
in den Ohxen liegen, dafs
die Maurer ei in Frankreich nie
gedeihen werde, solange man
Frauen den Zutritt gestatte-
Sie nennen # Diese Pedanten ;
und in der Überzeugung , dafs,
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