http://dl.ub.uni-freiburg.de/diglit/hesse1824/0396
MAgONNERIE D'ADOPTION. 373
wenn es in der Maurerei ein ces? Nous avons donc admis
wirkliches Geheimnifs gäbe, des Soeurs a ceux de nos my-
solches schon längst "bekannt steres, auxquels elles pouvaient,
seyn xnufste, beschränken sie elles devaient merne participer;
alle ihre freimaurerischcn nous leur avons rappele notre
Kenntnisse auf die Erkennung-- principe, en leur frosarot: adoptex
zeichen ; und alle ihre Logen- notre hut.u
reden sind Nichts, als Ermali- „Un nouveau paradis terre-
nungen, oft mit einem grofsen" stre est le Heu que nous linbi-
Aufwande von Beredsamkeit, tons; elles y viennent goutex
bedrängten Brüdern oder Kei- des fruits delicieux <jnl leur
senden beizustehen, und im sont permis, et instruites par
ganzen Chor zu trinken auf das un fatal exemple, elles onr le
Wohl derjenigen Schwestern, courage de se sonstraire ä Pap-
welche die Zierden ihrer Tafel- pas des fruits defendus."
löge sind." ,,Rien n'est plus propre a
In einem glänzenden pxouver a nos Soeurs la We
-r • i . ~ t opinion que nous avons ue
Lichte erscheint die Ma- leur sexe , V^'^rt que nous
$onnerie des JJames m der avons fajc> aprfcs tant de sie-
,,Esquisse des travaux d'A- cles, en les associant a nos my-
doption, diriges par les Of- "^e*- VAdoption nos coeurs
ficiers de la Loge de la Can- sont a tl\e*> »™ sont
r , -r\ ' -p ,t,i* ums aux leurs. Elles partagent
aeur} Uepuis son xLtablisse- nos sentimens coinme nos asy-
ment," (ce 21. Mars 1775, les, nos lumieres comme nos
parle Marquis de Saisseval, travaux; notre bonheur est
la Marquise de Courlebonne, comroun; et notre felicite
i /~f , y -n t ^ s'aufirmentant par la commum-
ies L-omtesses de lo Lignac et r * .
7 Xj - 7 X yn ö \ cation, nous amvons a cet
de Uioiseul~&oujfier, etc.) heureux degrf de jouissance,
,,a rOrient de Paris; Tan ou le coeur satisfait et comble
1778 ;<c (8 et 46 pp. in 4.) - n'a phts de desir a form er. De
zugeeignet den durchlauch- t0^f Vef ioci&" i>ar;
' Q k .1, 7i na1 les liommes, iL n en est
tigsten Dcnwestern; la Uur- point dä plus sage, de plus
chesse de Bourbon, Grande- parfaite, de plus utile que la
Maitresse de 1'Ordre des Magonnerie. La vertu, voila
Franches - Maconnes d'A- son espritjle bonheur du senre
7 t? i 7i hiimaui, voila son ; laver-
cloption en rrance, la J7m- „, _. i \ i. ■.
/ m u bonheur en composant
chesse de Chartres et la 1rm- ses avan tage s et ses douceurs,
cesse de Lam balle. In dem sont les senls objets de ses dev
Essai sur lebutdel*Adoption, voirs. Utile par la moraU
p. 3 sequ., heifst es unter ^eüe e™<*£™f agr&ble par
r ^ u 7 Vunion qu eile entretient, den-
anaein. cieuse par Vamitie frater nulle
,,La plus parfaite moitie du cju'elie inspire, la Magonnerie
genre huxnain ne pouvait pas est sur la terre nne ebauche de
etre toujours bannie des lieux la felicite des Cieux."]
qu'elle devait embellir. Est-il _
des biens paxfaits loin des gra-
http://dl.ub.uni-freiburg.de/diglit/hesse1824/0396