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MEISTER.
MEISTER. 419
va le corps & Iiiram,
lAdonhirani], dont le
bras gauclie etait eten-
du, et le droit formait
Pequerre, en figurant
le signe pectoral." u
27. Qn'fetes" vous venu
faire ici ?"
y>R. Giierclier la parole
de maitre» qui etait
perdue.""
^,23. Z)* Comraent La paTole
de maitre fut-elle peraue ?"
„Ä. Par trois grands
coups.""
„2g. ZX Queis sont ces trois
coups ?A*
„ „R. Ce sont ceux que
requt notre res pect,
maitre, lorsqu'ii fut
assassine a laporte du
temple par trois conr»
pagnons scelerats, qui
vouiurent lui arraclier
la parole de maitre ou
la vie." '*
*>$jo. Comment sufr-on que
c'etaient des compagnons
<jui avaient commis ce crime
?"
Par Pappel general
qu'on fit des o u vriers,
auquel trois compag*
nons ne se trouraieut
point.*4"
51. JD. La parole ayamt ete
perdue, comment a -1 - on
pu laretrourer ?"
>?R. Les maitres soup-
<*onnants [imtruits de]
Passassinat dCHiram [(P
jldonhiram"] im „P*.ec.*4
—des leursim „Nec."],
et craignant qua la
force des tourmens ne
lui [leur — „Nec."]
«ut aiTaclie la parole
de maitre, convinrent
entre etix que le pre-
mier mot qui serait
pro feie en le retrou*
rau't, leur servirait a
9*
Pavenir pour se recon-
naitre. Ii en fut de
meine du signe et de
Pattouch eraent." "
„32. D. Combien envoya -
t - on de maitres a la
xecherche Iiiram [Adori-
hiram] ?"
„ „Neuf, designes par les
neuf lumieres.**"
„^3. JD. Oii trouva - t-on
le corps de notre resp.
maitre ?*'
>? „Ii. Dans un tas de decorn-
bres d'environ neuf
pieds cubes, sur lequel
on avaic plante [l&.t
71 euf m a tlres p lanterent
— „Nec."] une brauche
d^acacia.** **
„54. D. A quoi clevait servir
cette bran che ?'*
?>>>Ä. Aux traitres, pour
reconnaitre Pen droit
ou ils avaient Cache le
corps 6.JHiram [Adon-
Juram] , qu'ils se pio-
posaient de transporter
dans im lieu plus
«loigne [Amtati der
letztem 11 Pforte im
„Nec."-; et ä prouper
le respect que doiuent
les maitre* magom ä
$a memoire].*4 **
n5B> Que fit-on du corps
de notre resp. maitre?"
„ Salomon le fit in-
liumer dans le sanctuai*
xe du temple, et fit
inettre sur son tom-
beau une medaille d'
or, triangulaire *)f sur
|>) „Le triocngle a 6t& comm. des
peuples les jplus anciens, et a
toujours signifie le premier principe
et mtoe l'auteur de la na-
ture. Le Chxistimhme s*e l'ap»-
propria pour repr&senter la tri-
|>le< «ssrence, — la triple unite du
Createur; lorsque la macoii-
nerie tlcvint VembUmc de rivire
rdigtQft^ — (wie nämlich die
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