Freiburger historische Bestände - digital

420 MEISTER.

laquelle ete gxave Je-
hova, Tancien mot de
xnaitre, et qui signifie
en liebreu VEtre-Su-
*prdme.uu
„56. D. Quelle forme avaifc
ce tombean?"

9,„R. Ii avait sept pieds
de long, sur cinq de
laxge et trois de pxo-
fondeur." **
*>57' Quelles sonfc eÄfirt

les maxques disftinctiyes des
maitxes ru ^

tJit signe, urt
attoucliement, deux
paxoles et cinq points
jiarfaits de la mal-
trise [^magonnerie —

„Nee."]-""
j,3g. Z). Doimez - moi le

signe!" — „(O/i/Zä /özY.)"
*>59k Corument le nom-
mez - vous ?**

„,,ü. Z<? signe d*hor~
reur.ua
,j4o. J). £ouxqiroi?"

„,,Ä. Paxce 'qu'il max»
que riioxTeür dont les
mal eres furent saisis»
loxsqu'üs aperqurentle
corps ^ Iis ranz [sJdon-
hiram~\.Uu
„41* D. Doimez l'attouclie«

'französischen Brüder, soifrie die
Anhänger vom Royal Arch in
England und einiger Systeme in
peutsclüand, vermeinen,— „tous
les raaftres eonvinrent de porter
tili «jquilaterul. Cettr? figure fut
le symbole, le signe duvrai ina-
§on chretien. Xü commence-
inent et a la fin d'une action, il
devait fignrer im triaiigle, pour
marquer qu'il rendait gräce ala
Divijiite. Voilad'oüvient Texer-
cice de la table! Le comraan-
datifc des che valiers, # dont les
Constitution.* des religieur grec»
font iiiention, portait une me«
daüle triangulaire, dans laquelle
etait renferrde im cercle qui, au
Ii eil de Jehova, representait sans
doute l'Etre-SuprÄme." — Aus
dem „Recueil." — Vergl. oben
den. Artikel: Dreieck!]

MEISTER.

rrmnt au frere premier sur>
veillant !"

„(On le donne-, etleSur-
veillant reporid comme dans
les deux grade s precedens^
s'il est juste.)u
>,42.,X>. Donneiz-lui la pa-
xole saexee!" — 9>{On la
donne, et le Sur veillant re-
pond,Ju
y,43. D. ... Que signifie cette
paxole?"

,,7?. La cliaix qültte
les os." "
,,44« Quel est le mot de
passe ?"

„ 99R. Giblin [Suhlihie,
suxnora donne a notro
xespect. maitxe." " —*
Vlxgl. oben den Axt»:

GlBLIM !]

„45* Queis sont les cinq

points parfaits de la mar trise
'[mapormerie — „Nec."] ?"

Le pedestre, Pin-
£exion des genoux,
la jonetion des deux
mains droites, le bras
tauche sur l'epaule et
le baisex de paix4' *4
^,46. D. Doimez - m'eii Tex-
plication lu

9tffR' 1° X<? pedestrt
signifie <^ue nous s0m*
ines toujouxs prets ri
xnaxcher au secours de
210 s fr eres ;

2° l'hiflexion fies ge~
noux, que nous devons
"sans cesse nous humi-
lier devant celui qui
nous a donne" l'etre;

5° la jonetion des
mains, que hous de-
vons assister nosfreres
[dans Isars besoinj) >

4° 'Iß bras que nous
leur passons sur l'epau-
le, que noü« leur de-
rons des conseils [di~
et es par la sagesse et
la ch-arite];