http://dl.ub.uni-freiburg.de/diglit/villon1931/0059
tj „Une fois me dictes ouy,
en foy de noble et gentil femme;
je vous certifie, ma Dame,
Qu' oncques ne fuz tant resjouy.
ij Vueillez le donc dire selong
que vous estes benigne et doulche,
car ce doulx mot n'est pas si long
qu'il vous face mal en la bouche.
€] Soyez seure, si j'en jouy,
que ma lealle et craintive ame
gar der a trop mieulx que nul ame
vostre honneur. Avcvous ouy?
une fois me dictes: ouy."
(Aus: Antoine Campaux: Fragens Villon. Paris 1859)
55
http://dl.ub.uni-freiburg.de/diglit/villon1931/0059