Freiburger historische Bestände - digital

454 GRADE etc.

GRADE etc

ttcr a ecouter, et c*est a Päge la Mac;onnerie se montre dans

xnux qu'il convient d*instruire," tout son joür et devient Tecol©

,,PoüTnousconvaincxe, TT/, de totites les vertus, quelle
CC .%* FF , \, de Pinutilite d'un prend la defense des malheureux,
gxand nörnbre de grades et des qu'elle eleve Farne de ses en-
aBus qu'entraruent leurs divex- fans et leur donne ce courag©
ses pxetentions, jettons mt in- qui les porte a faire les plus
staut un coup d'oeilsux lesvxais gxands sacxifices, quand ilssont
principes de la Mfagonnexie et necessaixes poux la gioire de
penetrons-nous deTespritquiles l1 Ordre ou le bieu general d©
adictesl Notxe Oxdxe ne pro- rimmartite,"
met point a ses Membres des ,,Un Majori n'est jamais im-
dignite'spömpeuses;ilheleuxof- plore envain; il croirait faire
fre point les moyens d'augmert- une injustice, s'il refusait Hilter
leurs richesses; il lcur pres- foxtune qu'il peut secourir."
crit au coritraire de se depouil- „11 n'liumiiie jamais ses Freier
de tout intexet partiquliex res, et quelque talent qu'il ait»
pour ne s*occupex que du bien il n'en est pas plus vain. Ii [es
glflexfL Brivallifles conven- consacre a son öxdre sans arn-
tions liumaines prescrrvent - el- bitionner ni les places , ni le*
les des distinctions; laMae^onne- dignites. Ii les accepte lors-
xieneles connait pas, Elle admet qu'il croit qu'elles peinrent Tai-
Hans son sein PJiomme 6lev6 en der a se rendre utile: rnais
dignites % quand il est persuade quei que soit le rang oti rami-
qu'il doit se distinguer par ses tie de ses Freres veuille l'ele-
vextus; eile recoit lhornme ver- ver, il le refuse constamment,
tueux■ quoiqn'il xl6 pui$se of- lorsgu^ine If jserKt pas les talens
frir ni titres» ni ricliesse$, efces r^e^essairefl poux le xemplir."
deux Bornmes lui >oht ega&* „EnEn s'il a le bonlieiix de xen-
inent chers. La iMaqortxiexre ne dre un service a. son. Ordre, il
considere que la vertu." n'envisage ni la gloire, ni les

jyL'orgueili cefleau destructeur lionneurs qu'il a uraltdroit d'en

de touces les sociales, Poxgueil attendxe, Jl agit seulement,

est inconiiu dans la Mac^onne« toujouxs pxe'ta. sacxifiex sa gloi-

rie. Le Grand de la terrey voit re meme s'il le faut. Qu'im-

tous les jouxs que ses infexieuxs porte qu'un, Mac^on soit liono-

sont des Iiommes et ses Freres; re, Pobjet interessant est que

il se place avec plaisir aupres ¥ Ordre soit sex vi. "

d'eux et les consulte; il ap~ „Tel est, TT .*. CC FF.%,

prend par Pexpexience que|la le veritabie esprit de la Ma^on-

raiaon et la justice sont au-des- herie. Ii wous presente a cha-

8us de toutes les dignites. La que instant la liberte, Pegalite,

science meme n'est pas un titre ces bases fondamentales de no-

parmi les Maqons poux se croixe txe Ordre, et le devouement tou-

au - dessus des autxes et se preV jouxs necessaixe poux en fixer

yaloir de seslumiexes. Leplus |a solidite. Objets que lesyxais

eclaixe communique ses avis Ma^ons ontxegaxdes continiiel-

avec discretiou, ecoute avec lement cowme runiquetbut <le

tiartquillitc ceux de ses Freres leur txavail, et dopt ils ne se

et se soumet sans peine a Tavis sont jamais ecaxtes rolontaixe-

juge le plus impoxtant. Crest ment! Ce sexoit donc rendre

dans ces prqcieux instans que a ces dignes Tttxes un servica