Freiburger historische Bestände - digital

4& .ÖFFNUNG.

ÖFFNUNG.

ouverce; apxes quoi*ils quQ$&
onnent leurs. Officieis^ sur . lo-
Catecliisme, en commencartt
par leux demander, si la lörge
est coiivörte-, — demande, <jul
doit etre falte,* avajit que de neu
faire de mäqonnique, et: sur-
tout im signe, qui est un des
principaux, secrets. Ainsi ces
aeux mani^xes d'ouvxix une löge
so nt,egalement cpntraires aux
lois de la ma.c.onnexie; ce SQnt
des innovations faites ,pax des
Maitxes peu instruits des Statuts
de FOrdre; c1est pouxquoi
ilfautabsolument Ies evitextou-
tes deux; et je yais le pxouvex."

„II est defendu txes-expxesse-~
ment de faixe aucun signe, en-
Göxe moins de "pxofexer de mot
sacxe, qu'en löge ourexte; et
ici .eile ne Pest pas, puisque
c'est poux l'ouvxix. De plus,
le Catecliisme iVest que pour
i'ntexxogex les fxexes, qui Visiten
t, ou poux instruire les nou-
veaux inities; et pexsbnne ne
peut disconvenir que cela ne
doit se faire qu'en löge ouverte.
D'un autre cote, rouvexture
une fois faite par toutes les de-
mandes du Catecliisme, que-
fexa-t-on en löge, s'il rt'y a
point de xeception? Envain me
dit-on qxie toutes ces demandes,
avant crouvxix une löge", sorrt
une formalite, qui caxactexise
le Maqon, qu'on interxoge, en
le forqant \d'avouex autlienti-
quement sa xeception. Je xe-
ponds quälest impossible qu'un
Gxand-Moitxe doute que ses pxe-
miexs Officiexs ne soient pas
xnäqons; rnais qu'enfm si c^est
poux les tuüex, a plus forte raison
doit-il interxog^x tonte Tas-
semblee. Alois, au lieu de
xemplix la place de Grand-Mai-
tre, en ouvrant sa löge, il n'est
plus qu'un Bxpert; et ce qui
doit etre le Ternjrfe de la li/mk>-
re, devient le xeceptacle de la
mefiance et de la confusion.

C'estdonc faut? d'attention, ou
de^.eonnaissance» des vxaies in-
stitutions. de Uoxdre, que tant
de Veriexables ont confondu si
mal-a-propos Pouvextuxe de
löge avec le Catecliisme, — deux
clioses absolumeut differentes,
comme on le vexxa, si Ton veut
xefUcliir s ur. Pq uvextuxe; q ui va
suivxe, dans laqiueliß.onfait ces
txois demandes. —

w2?. Quel est le pxemiex soin
. ' «Tun Mac,oh?" ' " ;

: ,,„i?. C'est de voix, sila
löge est couvexte."M,
. ,,2>« Quei est le second ?"

„ VJ$. C'est de voix, si
töus les- fxexes sont a
Toxdxe."«
„D. Etes-vous.mac.an?"

„7,Ä. Tous in es fxexesxne
coxinaissent pour tel.'* **
N^est-'il pas aisi de s'apercevoir
que ces demandes ne doivent
etxe faites qtiW des Suxveitlans,
avant d'ouvrir une löge, et
qu'elles ne peuvent faire aucu-
nement paxtie de rinstxiiction?
N'est*il pas xidicule d'exiger
qu'un freie, qui axxive, obser-
ve, si les Experts xemplissent
leux devoir, et si Tassemblee
est a l'oxdxe ? Quant a la pxe-
xriiexe, dans tous les cas, eile
appaxtient a PExpext. Lux seul
semble avoir le droit de deman-
des a tous ceux, qui se pxesen-
tent, poux entxex en löge, s'ils
sont macons, par la xaison qu'il
en doute et qu'il doit «'en assu-
xer. Mais il n'est pas ainsi du
Maitre, qui doit se xeposex sux
des ofliciers, qu,il a cxees du
consentement de toute sa löge,
et dont il eonnait le mexite. Je
conclus donc, sur les pxincipes
de la ma^onnerie, et «Tapies le
sens commun, qu'uii Venerable,
qui preside Jans Je Temple de
la lumiere, duqueL toutes les
avenues sont gardees par des
liomines fideles eNt surs, doit
etxe pexsuadeque tous ceux, qui