Freiburger historische Bestände - digital

74 PARIS

PARIS

pri rae avec tant de force PöSprit
particulier: seuis et sans con-
sistance, ils devinrentdea hom-
nie« plus sociables; et si quel-
ques-uns d'eux, par ignorance,
aveugleinent ou desespoir, pra^
tiquerent encore dans leur re«
traite quelques * uns de leurs
dogmes affreux, les autrea füren
t plus lmmains, etudierent
mieax la nature» et repandirent
de plus doux principes.**

(Das, was nun unmittelbar
folgt, stellt bereits oben B,2,

S- 553» Sp« h; (womit die
Artt.; Dritidew , u. 3? «a» "y 1*5«el
(IViomas), sowie im gegenwärt
. Bande S* 51 f. zu verbinden
sind. Hierauf fährt
JSazot fort:)

„et iorsquel'Europe, pluseclai-
ree, fut presque entierexnent
ehret! enne, iesplus illustres seig-
xieurs, penetres des principes
dela foi, snivirexit Pexemple des
seigneurs franeais, qui fürent lcs
premiers, a aller porter les liom-
mages de leur piete au tombeau
. du Dieu, qu'ils reveVaient. Ces
pelerinages füren t eminemment
avantageux a la Franclie - Ma-
goimerie, et la rendirent d'une
utilite generale. En effet, la
necessite, onles pelerins se trou-
verent, de se soutenir mutuelle-
xnent dans des pays etrangers et
au milieu des infideles, qui ne
les aouffraient que parceque
leur inter^t l'exigeait, leur
£t adopter les formes, que les
seigneurs franeais avaient eta-
blies, pour se recoxmaitre, se
secourir et se proteger. Le
temps n'etaitpas eloigne, oft la
Magonnerie allait acquerir ime
vigueur et une univexsalite,
qu'elle ne devait jamais perdre."

Nunmehr schwatzt der
Verf., p.91—'95, von Peter
dem Einsiedler, von d. Kreuz-
ȟgen, und von den Schicksalen
de» Masonentrnnns in
Grofsbritannien* und fährt
(bis p. 105) *o fort. —

„Apres ayoir jete un coup-
d'oeil rapide sur les progres de
la Maconnerie en Angleterre, il
est important, d'exposer les dif-
ferentes causes^qui concourarcnt
a ce que cette contree, qui in-
venta peu, xuais cyxi perfection-
na souvent, devint le theAcre,
ou laplus belle des xnsticutions
se manifesta si ostensibleiuent
et acquit tant de consistance.
Ce travail sera court et faciie.**
„Les moeurs des Anglais, et
l'esprit de liberte qu'ils tiennent
de leurs lois, voila la princi-
pale cause de Petabiissement et
de la faveur de la Franche-Maconnerie
en Angieterre! Un©
Institution, qui prescrit la re-
ligion naturelle, qui recomman-
de la cliarite, la pratique de
toutes les vertus, et snreoue i*
am cur fraternel le plus pur, devait
s'aecorder parfaitement avec
des lois amies de la Hberce, do
rindependance, avec des moeur«
reflecliies, austeres, avec une
reiigion tolerante et degagee de
superstition. XJn roi famiiia-
rise avec de telies loi*, de teile
« moeurs, de tels principes,
nepouvait etre eloigne, d\iaop-
ter une institution, qui ajou-
tait a. ce que Celles du roynume
avaient de meilleur, et qui tn
corrigeait les imperfections.
La Pranche-Maconnerie, natu-
xalisee par les Drttidts, Iois-
qu^ils s^etablirent dans les lies
JBritanniques avec les colonie*
gauloises, ne se developpa qua
lentement dans ce siecle de bar-
baxie et d'ignorance; mais, cpu-
ree et fortifieepar le temps, eile
parut a des liommes pins in-
struits ce qu'elle etait reelh-
ment. Le zele des Macons francais
porta dthehtait, a l'exa miner
; il en sentit tout le merite,