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154 PUBUCITlT.
auf den Ausspruch des Ad-
joint du Grand-Maitrebei'm
letzten Ordensfeste; que
le depoir d'icn Mapon est de
travailler, d3 ob dir et de se
taire," bezogen habe, nennt
diesen Ausspruch „un axio-
me gothique, qu'on citait ja-
dis a une apprentie macon-
ne/e — „une vieille rnaxi-
me, qu'aujourd'hui, dansles
loges d'adoption bien com-
posees, 011 ne se perinet
plus d'exhumer des cahiers
poudreux, oii eile doit <§tre
pour jamais rongee par les
vers," und fährt dann bis
zu Ende fort:
„Cette maxime, qui chezune
nation spirituelle, delicateet
galante devait necessaixement
tombex en desuetude a Pegard
des dames apprentics, peut bien
moins encoxe etre appliquee a
des liommes xevetus des plus
hauts grades. Si Ton voulait
serieusement Pintroduire dans
la maqonnerie, il rfy aurait
bientotfplus de Mk'qons enFrance
. Quel est eu effet le Fxan-
qais, qui, joüissant dans Poxdre
politique des droits attaches a.
la dignite de l'liomme, voudxait
se soumettxe dans la ma^onn.
a des principes dignes du Dey
d'Algex? ön est si persuade
de la surprise faite a la religion
de TAdjoint du Gxand-Maitxe
que l'on se contente partout —
de rixe des liommes a vues etroi-
tes, qui ont abuse du peu d'habi-
tude, que cet illustre guerxiex a
des termes xna^onniqucs, pour
lui souiller cette inconvenance.
«— On demandcra, comment il
est possible qu'il parte de si
iausses mesures du Gr. Orient.
Est-ce que la compo&itioii en
TUBLICITÄT.
est mauraise? — Non, certes!
he corps fait souvent de Jiautes
sottises, et cependant les indivi-
dus, qui le forment, sont infini-
mentrespectables. Mais ces liommes
xegaxdent leuxs fonctions
comme lionorifigues; et elles
le sont en effet. Lirxes a leuxs
occupations civiles, ou au xe-
pos de la vie privee et d'une
douce aisance, ils desappxou-
rent cliacun en paxticuliex ce
qui n'est pas dans les pxincipes
d'une saine pliilosopliie; rnais
ils gaxdent le silence dans les
xeunions pax la ciainte, de se
faire des ennemisy d'avoir des
lances ä ronipre, de troubler leur
franquillite. Ainsi presque tout
se fait par Pirifluence d'un sipe-
tit nombre qu'on ne pourrait le
croire, si l'on ne connaissait ce
regime interieur,u
3) Tn der Loge: Johannes
der Evangelist zur Eintracht,
in Darmstadt, sind am 17.
Febr. 1817 zwei sehr geschätzte
protestant. Geistliche
und ein wackerer Ca-
nonicus von dem fömisch-
kathol. Glaubensbekenntnisse
gleichzeitig zu Freimaurern
aufgenommen worden
. — Dieser denkwürdige
Fall veranlafste den damaligen
Meister vom St.,
Br. Fr hm. von J'Fedehind,
„Bruchstücke44 von den
sinnigen Gebräuchen bei
dieser Handlung und Das,
was dabei gesprochen worden
, in einem Abdrucke
von 40 SS. in 8". zu liefern.
Auf dem Titel, der unten
mit dem Logenstempel versehen
ist, stehn die Worte:
„Nur Mariuseript für Frei-
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