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STADT,
STADT. 387
die geheimen Kenntnisse < betrifft
? so gingen sie einen ganz
besondern Gang und verfertigten
, noch über den Rittergrad
hinaus , mysteriöse Grade, deren
Geist und Gegenstand aus
den von Männern aus dieser
Schule lierausgegeb. Schriften,
als: „Archives mytho«herrneti-
ques," „des erreurs et die lave-
rite," u. s.w.» zu beurtiieilen
sind."
Eine ausführlichere Darstellung
liefert Br. Thory in
seiner „Hist. de la fondat.
du Gr. Or. de Fr.", p. 186-
191, (zum grÖlsten Theile
entlehnt, wie er p. 188 in
der Note 1 sagt, aus dem
Werke des- Comte de Mira-
beau: „de la monarehie
prussierine, sotis Frederic-le~
Grandr\ (Londres, 1788,
7Volsin8.) aTarticle: Religion
,) in. nachstehendem
Auszuge. —
„On sait que les loges re*for~
mees, qui se nömmerent de la
stricte Observance" [s. d. Art. !]
,,enseignaient que T Ordre des
Francs - Maqons n'etait qu'une
asiociation faisant suite a TOrdre
des Templiers, destinee a
en pexpetuer Texistence. Ori
faisait circuler une liste de ses
possessions; leS membres se les
distribuaient söüs le titre de
Commanderies, Prieures, Bail-
lages, etc." [Vergl. oben B. z9
S. 142 u. 177!J „Le plus haut
grade etait d'etre recu Templier,
avec toutes les ceremonies de
Tancienne chevalerie. On y
parlait de personnes inconnues
possedant des secrets, etc.'*
„Cettepretendue restauration
de POrdre des Templiers echauf-
fa les esprits. Ii y eut des ja-
lousies, des haines, des intri»
gues poux des commanderies
imaginair.es, poux des cordons,
pour des decorations nullement
connues dans le monde, et qu'on
ne^ revetait qn'en secfet et par-
mi les freres. II en resulta des
scissions, qui donnerent nais-
sancead'autres instittitionspln$
ou moins eloignees de celle-ci,
et notamment au Systeme de
Zinnendorff'9 airisi appele du
nom de son fondateur." [S*
unten Zinnen dorfschesSTST^Tdl]
„Lea cliefs ds Tordie de la
stricte Observance furent im>
puissans , pour arretex ces des-
ordres. Differens convents
avaient ete tenus, poux y par-
venir, a Brunswick) a Wisbaden
et un a Lyon en 1773; ils n'a-
yäient eu aucun succes. Enfin,
ils en assemblerent un general
^Wilhelmsbad." £S. d. Art.!}
,,Lale regime dela str. Observ.
fut rectifie, en ce qu'on y de-
clara que les MaqoMS ^etaient
plus les successeuri immediats
des Templiers, et qu'ils de-
vaient «seulement eji faire la
commemoration. On arrlta ce
changement dans la 15^ seance
du convent, et on decida que
la legende du nouveau Systeme
serait celle-ci:'*
„ „Nunc sumus equite$< benefici
civitatis sanctae, religionis
christianae strenui defenso-
res, spem, ßdem et cariteitern
colentes»u (
„Cela voulait dire que les
Francs-Macons, qui rectifiaient
ainsi le regime de la str. Obs.,
ne se regardaient plus que com-
me des chevaliers bienfaisans;
qui se consacraient a la defense
du christianisme et a. la prati-
que des trois vertus theologales:
la jfoz, tesperance et la chari'te,u
[S. d. Artt.: Glav&z , Liebe
und Peeiler!] * **
,,Dans ce convent, asscmble
sous le pre texte d%ne 16forme
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