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TEMPELHERREN. ORDEN.
tiens cnpisirent le temple de naitre entre eux, rnalgre la con-
Salomon, qui a tant 'derappoxt ä fusion, ou ils etaient parmi les
Veglise chretienne, dont cet edi- barbares. Pour y reussir plus
ß.ce sucte, si süperbe, est vrai- efhcacement, il futresolu qu'on
inerit Pembleme- et le Symbole, se servirait de sign es, deparoles
C'est donc par7 cette raison que et de maxques differentes a clia-
les Chretiens cacherent le mys- que grade, pour les distinguer
tere de redification de Teglise rioii seulement des profanes
sous celui de la constxuction du Saxrasins , mais pour maxquer
Temple, etqu'ils se dormerent les differens grades, qui furent
le riom de Mapons, cPArchitec- fixes au nombre de sept, a Tex-
1 tes ou Bätisseuxs, puisqu'ils emple du Grand Architecte, qui
t'occupaient a edifier la Foi. Iis bätitl'Univers ensix jOurs et se
fixentdonc un tableau semblable xeposa le septieme; de meme
& Pestampe ckjointe et sVssem- qu'on derneuxa sept ans a con-
blaient, sous le pretexte de lever stxuire le# temple de Salomon,
des plans d^rchitecture, afin de qu'on avait clioisi pour base fi-
auivre la religion chretienne gurative de la Ma^onnerie, et,
par tous les emblemes et toutes sous le nom & Iiiram, dont la
les allegories, que la Magonnexie Maitrise ne donne qu'une- fäusse
pouvait fouxnir, et pour mettre explication ; le vrai secret n'e-
feur vie a Tabri des cruautes du tant deVoile quedans cet ouvra-
peuple sarrasin." geici." — Vgl. oben B. 3, S. 19g,
„Comrae les mysteres de la Sp» b, den letzten Satz, bis S.
Magönnerie n'etaient- dans leur 200, Sp. a!} -
principe et ne sont encore autre - -
cliose que ceux de la religion . .
chretienne, on fut extremement [lm Orden derstricten Ob-
acrupulenx ane confier ce secret servanz wurde dem Novizen
impoxtant qu'a ceux, dont la bei seinem Eintritte folgen-
discxetion etait eprouvee,et dont dßr aus dem berliner Mau.
on etnit bien sur. (u est pour- ^ . , , 'i , -
quoi on iniagina de faire des gra- ier* lascnenfcmcJi. aur d. J.
des, pour eprouver ceux, a qui 5805 bis 5806. von X. Y. Z.a,
Pon-voulaitles confier; et on ne S.JL31 -142, entlehnter und
leur donnait dVbord que le se- tier uni da zum bessern
cret syfmbolique d'Uiram^ 1 [s. v>r*tpli*»ri in Dar«tPl
d. Art.!] „sur lequel est fonde Veistenen, m dei JJarstel-
toutde mystere de la Maconne- e.twas abgeänderter,
xie bleue, tant pour l'Appren- Unterricht ertheilt. —
tif, le Compagiion, que pour le „ Das ganze Geheimnifs des
Maitre;.-ce qui est, au vrai, le FMxoxdens entwickelt sich in
seul secret de cet Ordre connu der Geschichte des während der
du public, et qui*ne consiste xtreuzzüge , der europäischen
que dans le raot: Macbenac ,u Völker nach dem gelobtenLande
[5. d, Art.!} „qui n'a aucun xap- so berühmt, reich und herrlich
port a la vraie Ma9onnerip/t' gewordenen Ritterordens der
„On ne leur expliquait pas Tempelbxüder oderTempelher-
ÄUtre chose, crainte Ä'Btxe tra- ren, —indem gewaltsamenAn-
hii; et on leur. avait seulement griff und dem öffentlichen und
conf6re ces grades comme un allgemeinen Umstürze des Or-
rnoyen propre, pour se recon- dens in der ganzen Christenheit,
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