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MODERNEB. TEMPELH. - ORDEN. 521
der Grofsmeister bis zum J. yecirdumanteausacüedeFordre,
1812! i118.!11^ employer sea forme« mys-
Hier ist zuförderst der ^ieuses, jusqu^k profaner 8es
■% » » , . t, > 7 Pius samtes maximes. Sou« ce
obige Art.: la societe de voile,qu'ilsteignirentbientotde
l'AiLOYAU, nachzulesen. S, sang,lesJacobinsdei795sesouil-
dazu „Nicolais Bemerkun» lerent des plus affreux attentats.
gen" u. s. w., im Anhange, A une. epoque moins eloignee
c Qß JM t?,^^ -„j „r° reparaissant sous les couleurs
o. ou r.I x1 erner wird vom j/i 'i^:*;,«:^ ;ifl
n r, - . _ ae la legitimite, ils recommen-
Br. Bazot m seinem „ Ma- cerent leurs sactileges et leurs
iiuel", (ed. 1819,) p. 67-69, forfaits. -
bemerkt: «Je mWr&temalgre moi; ma
Tt „ ... plume se refuse a defendre plus
„II est des gen», pour qui neu fongmtmB la Francbe-Maconne:
n est sacre. Ce qui merite la rie&de tout ^ d
vencration , est precisement ce homme8 qni &aiem hair r
dontilsSernparent,pourlaviUr vece lluma* si quelqiles
parle coupable usage qu ils en £celei.atg on devai£ ^
tont. Je veux parierde la secte, les h.orames **
ou, pour dire improprement, U'itimes ,uccc5seurs
comme tout le monde, de la dfi Jacques MoU et de ses cW
]\Jagonnerie temphere. ~ Cxoim- valiexs exi8tent; et dignes de
t-on que 1 ordre illustre et mal. Ujm illustre8 fondateifis, ils
lieureux des Templiers, — que honorent pax leux8 haute5 ver,
cet ordre, detruit park cupi- tm> ieur8 ^aienSj leUr excellent
dite d un xoi et la lache com- • non k Maponnerie dile
plaisance d'un pontife ambi- maj$ k veiitable asso-
tieux, que la uostente accuse ciation AeäChepalzers du Tempil
aussi de Jalousie et d'avidite, y diesen Tt>mr>r]ritl-ern
— croira-t-on, dis-je, que cet - :r°n öl.esen 1 ™ipe tritt ei n
ordre, Tenere de nresque tout neiLst es m der „&ncyclop.
l'univers, a servi pendant la ma^onn.", T. II, p. 390:
reVolution de voile et de pre- >>Si dan8 le8 llaut8 xades de
texte a la reunion de vils liitri- quelques xites ii y en a, qui ont
gans, de scelerats msenses i — une couleur templiere, on auiait
On le concevra avec peine; on toxt d^en conclure que les Tem-
ne devmera pomt, pax quel art plieX8 80nt ie8 pfexei de l'insti.
ou par quel exces d'audace le tutiOIl rnacomuque. D'abord
crime aura su fascmer les yeux ce8 g^des ne sont paslamacon-
au pomt de taire croire a IV nex£e; ns n\en sont que \a su„
dentite de bngands domestiques perßtation. Le Grand Orient
et de loyaux clievahers, comme de ?rtLnce en a long- tems porte
je vais essayer de le demontier." \e mame jugement et ne leur a
Des hommes nes daus la donne le droit de cite que mal-
fange, et dont Tarne abjecte gre lui. En second lieu, il y a
est au-dessous de tout ce qu' il entre les prineipes etlesformes
y a de plus ril dans la nature, des templiers et des macons non
imaginerent en 1793, de se dire seulementunegiandedifference,
les successeurs des Templiers, maismemeOppositioncornpletc
Dans leur audace impieils por- en bien des points. Aussi som-
terent le scandale jusqu'a se re- mes-nous encore a concevoir
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