Freiburger historische Bestände - digital

TEPPICH

TERRASSON. 523

deration. La societe des Templiers
vient (Ten offrir une
preuve eclatante a Poccasion
du mariage de S. M. VJEmpereur
et Roi avec Marie'Louise d?Au-
tricke. JLe 16. aoilt 1310 eile a
donne une fete, terminee parune
Distribution de vetemens, de vi-
vres et d'argent a des vieillards
indigens, choisis dans les douse

inunicipalites de Paris. "--

On dit que* dans l'origine
de cm etablissement, quelques
querelles semb leren t s1 elever
entre )es autorites ecclesiastiques
et les Templiers modernes, qui
ctaient accuses d7abuser des ce-
xemonies de Teglise dans leurs
initiations; il est vrai semb lab le
qu' elles n'ont pas eu de suites
serieuses ; car tout parait apaise
aujourd'hui" [c'est a. dixe:

,,Le Gr* Or* de France n1a
aucune juridiction sur eux; ii
n'a que le droit d'inspection sur
la Loge, sous le manteau de la-

quell,e ils se reunissent. "--

„Quoique la societe des Tem-
pliexs de Paris soitd'oxigine tres-
xecente et, en meme tems, com-
posee de personnes distinguees,,
neanmoins des germes de dis«
sension se soiit deja manifestes
danssonsein; unescissionmeme

s*y est operee»"--

,,Nous declarons, au reste,
que nous sommes bien eloignes
de clierclier a jeter de la defa-
veur sur cette Institution. Ceux,
quila composent, meritent toute
consideration; et, sitoutce que
Ton en rapporte est vrai, nous
nous bornerons a croire, nous
inviterons tout le monde a se
persuader que tout ceci n'est
qu' un jeu cPenfcms^ une auguste
fadaise."]

Teppich (der), oder, wie
er in deutschen Logen genannt
vrird, das Tapis,
[franz. le tableau; engl, the

drawing on the floor;] ist ein e
auf dem Fufsboden der Logen
unterhalb des .Altars,*
hinter dem der Mstr. v. St.
sitzt, befindliche, länglich
viereckigte Zeichnung*, welche
im ersten Grade die inneren
und äufseren Theile
des Salomonischen Tempels^
nebst verschiedenen symbolischen
Figuren, darstellt.
[Vgl. cL Art. Viereck!] In
den frühern Zeiten wurden
diese Figuren jedesmal mit
Kreide oder Kohle gemacht
■und vor dem Schlufse der
Loge verwischt, [s. ,,KU.<%
B.l, Abth.l, S. 236-238!]
seit geraumer Zeit aber, [in
dem Orden der stricten Observanz
seit 1766,] werden
sie auf Leinwand gemalt.

[In der oben B. 3, S. 90,
unter Nr. 3 angeführten
Schrift macht der Herausgeberp
. 197 die Bemerkung:

,,Ce qu'onappelleproprement
la Logeyu [s. oben diesen Art.!]
^c'est-a-dixe les figuxes cxayon-
nees sur le plancherles jours de
xeception, doit ptxe crayonne
a la lettre, et non pas peint sur
une »toile, que Ton gaxde expxes
poux ces jouxs-la dans quelques
Loges. Cela est contrela regle,

Tehcy ist der Name Eines
der von Salomo zur Aufsuchung
des vermifsten Meisters
auserwahltenneunMei-
ster. [S. im Art.: Hiham, S.
75 Note

. Terivasson (Jeau), Abbe
in Paris, gest* 1750, ist Verfasser
des^&tfAos,histoire ou