Freiburger historische Bestände - digital

770 verb es sprunge]* und ZtJsZtZB.

de Rostock, D'un äutre c.ote* Pabbe de Bausset et quelques au*
tres personnes de distinctionyinteressaient, po,ur lui obtenix'une
place a Paris, soit a la bibliotbeque du roi, soit aux affaires
etrangeres. Ces demarches ne reus&irent point; et Starck,. em-
coxe peu afFermi dans J.a foi, sollicite par ses parents et ses ärnis»
presse peut-etre par le besoin, retouma exi Ailernagne. et rejprk
lT£>x er cic e de la religion protestante."

„ Son abjuratim a Paris avait ete secreie et resta toujours
ignoree de ses ennemis, qpi n'auraient, pas manque de la lui re*-
proeber dans leurs nombreux ecrits contre sa personne ou &e&
ouvrages: mais le fqit est incontestable; le memoire de l'abbi
Jouhert existe encore et ne laisse altcun doute. -7 Nous avons da
ji>sister sur qes details, parce qu'ils*etaient generalernent incon^
lius, ,e*t parce qu'ils no}us paraissent expiiquer* quelques demarclies
subsequentes de Starah*" '* . * *

. „En 1770,il fut; appele a Königsberg, pour y exercer le?
fonctions de professewx en theo logieret de predicateur a la coux;
six ans apres il etait predicateur en clxef et sup er - intendant «* ge-
rierai; mais a. peine Pavait - on nomme a ces detix places, qU'aii
grand< etonnofnent de tout le monde, il s'en demit volontaire-
xnent» Apr&fc avoir prononce le 1. j an vi er 1777 son discours d'a-
d*ieu, il s,e rendit a Mitau, pour y oecuper une cliaire de -pbi-
los^pbie. Cette brusque retraite, par laquelle Starck sacrifiait
' deux places importantes pour une* autre moins c'onsideree, »e
peut-guere s'expliquer, ce semble,. que par les reprochesy quHl
se faisait sur sa defection. En prenant une dhaire de pliilpso-
plii'e, il devenait du moins etranger a Teriseignement de la
doctririe lutberienne. Cependant, en 1731 il accepta le titrede
premier predicateur a la cour de Darmstadt, ainsi que la place
de cbef du oonsistoire et du definitoirc, a laquelle il renonc.a
dans; la suite, pour se livTer entierement a la chaire,, ou Ton
peut croire qu'il se bornait a traiter des verites generales de la
jrevelation et les points de la morale chretierme.44

„Ses ennemis lui reprocliaient d*etre catholique en secret; *)
Siarcky loin 4© repousser cette accusatiorr,' laissait wir dans ses
Scrits un penchant-pour 710s croyances, dont il a fait ouvertement
V'epologze* II reaherclmit la conversatiö-n des pretres catholiques,
Ijui etaient etonnes de Pentendr e pro fesser ä- peu- pres les mebnes
prmcipes qifeüx. Ün d'eux, dans Tepancliement d'une conve^sa*

Offenbar "beabsichtigte er damit, mit gröfserm Erfolge gegen die
evangelisch-protestantische Kirche zu wirken und ihre Glieder ihi
abtrünnig zu machen^ und gleich^ol« hatte er in seinem Werke:
lieber den ZWe-qk" $. w. (s. vorher ST. 40S f., unter Nura. 3,!)
S. 112 f-J, — (zw.ar dort allerdings nur in Beziehung auf das Anwerben
neuer Bpgenniitglieder: 'doch hier" ebenfalls anwendbarj) —t
selbst gesagt: „Man kann es- fast als eine ausgemachte Wahrheit ansehn
, daXs Prösetytenmachergeist sich immer da am Lebhaftesten
und Wirksamsten äulsert, wo der Irrthum am Stärksten ist. iWo es
an innrer Stärke fehlt, da sucht man gemeiniglich diesen Abgang
durch etwas Äufsere» zu ersetzen. JSitie in ihrem Innern schwache
Societät setzt insgemein von'Aufsen Stützen an und sucht, entweder
durch Vielheit der Mitglieder, oder dadurch, dals man Grofse,
Vornehme, Angesehene, Reiche an sich zieht, sich zu erhalten und
aufzuhellen."]