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Verbesserungen und Zusätze.
dort intime, prit 2a Iibexte de lui xapele* ces mots. de ifr. JPaul
dans ,,1'Epitxe aux Romains"; „„II faut croire de coeur poiir la
justice, et confesser de bouclie, poux operer le salut."" Starck
se tut; et il gardait aussi le silence, loxsqu'on lui faisait quelque
xepresexitation de ce genxe. Gette inconsequence a droit, san*
doute, de nous suxprendxe dans un komme si eciaixe et si sage
en apparence: mais au fond ne se retxouve «t«elle pas dans beau-
coup d^liornmes, qui n*ont pas le courage de conformer leurcon-
duite k leur croyance? Ii faut piain die celui, que des inter4t$
temporeis xetenaient dans une communion, que sa conscience xe«^
poussait.»"
„Starck jouissait a I>axmstadt d*une grande considexation; il
soxtait peu$ mais il ne se refusait point a rempxessement„de$
etxangexs, que sa xeputation attixait cliez lui, Sa conversation,
fleine de doueeur et d'attraits, etait aussi instxuctive quTagrea-
le. *) , Objet des attaques de tout un paxti, il ne les a point xe-
doutees; et il a lutte jusqu'a la fin contre Tinvation du Systeme
j^hilosophique. Biester^ Gedikey Nicolai, et plusieuxs autxes ecri-
vains de cette ecole, Paccuserent de Jesuitisme. ßtarck se mon-
tra superieur a ces declamations. Le Landgxave, depuis Gxand-
JDuc, de Hesse-Darmstadt lui temoignait une estime paxticuliexe;
il lui confexa en lgoy la gxand*cxofx de 1*ordre de Louis pour le
merzte; en. lgn il le nomma Baron.**) Starch jouit peu de ces
lioaneuTS et mourut au mois de maxs igi6, apx^s avoix oxdonri®
qu'on Pentexxat sans aucune ceremonie Sur le Mont sacre, pxes de
Jugenheim, dans un iieu, oü exista.it autrefois un couveut de re- ,
ligieuses. **
„Ses ouvrages sont nombxeux; la plupaxt sont en allemand;
»ous nMndiquexons que les pxmcipaux: [u. s, w. bis:] ,»VII«.
,,Epliestion4*, 1775, 1776; ouvrage philosophique» VIII» ,,$ex*
mons", Koenigsberg» 1775, et Mitau, 1776. IX „Histoire du
pxemier siecle de P Eglise chxetienne **, Bexlin, 1779'et 1730,. 5
vol., avec le poxtxait de l'auteur. X. „Pensees et considexationat
fxanchessuxleGIixistianisrne", Berlin, i7go, et Augsbourg^. 1737.
XL ,,Sux les anciens et nouvcaux xnystexes*', Berlin, XII»
„Essai d'uhe liistoixe de PAxianisme Berlin, 1795» 2 vol. XIIL
MSt. Nicaise, "ou recueil de lettxes franc-rnaqonruques* txaduit du
fxangais", Fiancfort* 1735 et 1736. I/auteux desavoua cet oa-
[*) Der "Übersetzer in der „Zeitschrift" bemerkt hierzu: „Doch liefs
sich etwas Hoffährtiges und Herrschsüchtiges in seinem Anisern
nicht verkennen." [Mit dem Stern auf der Brust und dem grofsen
, Qrdensbande bestieg er die Kanzel.] „Im Ganzen wog er%seina
Worte: doch soll er sich einigeMale vergessen und, einPaar junge,
jetzt sehr angesehene, Geistliche für seine Meinung mit Heftigkeit
einzunehmen, obwol vergebens, versucht haben. — Die FMrerloge
in Darmstadt wurde erst nach seinem Tode gegründet." S. den
Art.: Wjeixis-Ind!J '
[**) Ein glaubhafter Bruder, der in Starck's Näbr> gelebt und ihn beobachtet
hat, versichert, ,,dafs er bei dein Hofe in Darmstadt ohne
besondern Einfluls und keineswegs im Vertrauen des Grofsherzo^s
gewesen sey. Um das Freiherrndiplom habe der eitle Mann noch
xxl seinem hohen Alter selbst nachgesucht5 wiewol er kinderlos ^
wesen."]
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